André Malraux rapporte ainsi, dans La Tête d’obsidienne, que Picasso lui confia que ce fut là sa « première toile d’exorcisme », qu’en elle, se concentre cette révélation qui avait été la sienne devant les fétiches du Trocadéro : « J’ai compris : moi aussi, je suis contre tout. Moi aussi, je pense que tout, c’est inconnu, c’est ennemi ! Tout ! Pas les détails ! les femmes, les enfants, les bêtes, le tabac, jouer… Mais le tout ! »
Anne Baldassari, Directora do Museu Picasso, Paris
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2 comentários:
Existem bordeis com oitocentos anos.
As mademoiselles estão de parabéns!
Maas esse de Picasso não era comuna?
Não me fecundem, porra.
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